Dans un pays hôte où les langues et les scriptes sont si nombreux (22 langues officielles), personne ne sera étonné de voir les IDN occuper le devant de la scène. Ces noms internationalisés – comprenez des noms de domaine acceptant des caractères autres que le seul code ASCII, des accents français aux caractères mandarins en passant par le cyrillique et tout autre alphabet “exotique” – ont fait l’objet d’un atelier dès le lundi à New Delhi. Le sujet a déjà fait couler beaucoup d’encre et engendré de nombreux maux de têtes. Le défi : incorporer environ 100 000 de ces caractères venant des langues du monde entier dans le système de nommage, au niveau de l’extension.

La question concerne beaucoup de monde. Les gouvernements, au sein du GAC ; les gestionnaires des ccTLD regroupés dans le ccNSO ; puis les éventuels opérateurs de ces nouvelles extensions et, bien entendu, le Conseil d’administration de l’ICANN.

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